Le nombre d’or ou la divine proportion
Le nombre d’or, histoire ancienne toujours d’actualité.
Nommé ” divine proportion”, on retrouve le nombre d’or dans de nombreuses représentations naturelles et artistiques. Mais d’où vient-elle ? Pourquoi cette notion est-elle incontournable en communication ?
Tout commence chez les Grecs où Pythagore et pythagoriciens étudiaient tous ce qui était d’une grande beauté et sans défaut.
Un mathématicien grec, Euclide, au IIIe.siècle avant J.-C introduit la valeur particulière de 1,61803398875 (phi). Elle définit le “rectangle d’or” que l’on retrouve notamment dans la construction du Parthénon à Athènes.
Ce rectangle construit suivant ce rapport serait alors la représentation esthétique la plus harmonieuse.
Confitacom vous propose la création de votre logo dans les règles de la divine proportion.
La suite de Fibonacci
En 1175, un mathématicien Italien Léodarno de Pisa Fibonacci introduit la suite de nombres entiers qui porte son nom. Elle consiste à additionner les deux nombres précédents pour créer le troisième: 0,1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,… Le rapport des deux termes consécutifs de la suite tend vers une valeur constante, Phi.
Le Rectangle d’Or
C’est alors que l’on a mis en évidence une importante propriété du rectangle d’or. En effet, si on lui retranche un carré dont le côté est de la même longueur que celle de son petit côté, le nouveau rectangle est de nouveau un rectangle d’or.
De même, si on lui un carré dont le côté a une dimension identique à celle de son grand côté, le nouveau rectangle est toujours un rectangle d’or, et ainsi de suite…On peut alors tracer une spirale tangente au grand côté aux points de contact avec les carré ajoutés.
La divine proportion
Les propriétés de la divine proportion se retrouvent dans l’esthétique. C’est un critère de beauté que l’on observe en peinture comme La Joconde ou l’Homme de Vitrune de Léonard de Vinci.
C’est également le cas dans la nature où l’on met en évidence des périodicités dans la répartition des feuilles le long de la tige, l’implantation en spirale pour les écailles de la pomme de pin ou les graines de tournesol.
On comprend mieux pourquoi dans la photographie, la composition d’un visuel ou d’un logo on retrouve la technique de la règle des tiers pour la photographie et la grille d’or en infographie.
Les logos aux divines proportions
Un grand nombre de logos suive ce fil conducteur mathématique pour devenir plus efficaces, plus équilibrés et plus convaincants.
Je citerai à titre d’exemples des logos qui sont construits grâce à la suite de Fibonacci : le logo d’Apple de Rob Janoff, le logo BP, Grupo Boticario, National Geographic, Pepsi, Toyota
Pour en savoir plus, j’ai choisi deux sites bien intéressants